FÉMINICIDES Il faut sécuriser le travail des victimes ! | CGT

Les 230 000 femmes victimes de violences conjugales sont aussi des travailleuses. Elles sont bien souvent, pour échapper à leur conjoint violent, contraintes à la démission ou au licenciement. Pourtant, leur travail constitue leur planche de salut pour assurer leur indépendance économique et échapper aux phénomènes d’emprise. Il y a donc urgence, comme le prévoit la dernière convention de l’Organisation Internationale du Travail gagnée par les syndicats, à adopter des mesures pour sécuriser le travail des victimes…
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