Le rassemblement en photos !

Stop au dépeçage de la RATP ! Non à l’ouverture à la concurrence !

jeudi 17 décembre 2020
préavis de grève pour l’ensemble des catégories professionnelles et des services

du 16 décembre à 22 heures au 18 décembre à 7 heures. 

rassemblement devant le dépôt RATP Belliard
à partir de 10 heures

29, rue Belliard, Paris 18e

Télécharger l’appel de la CGT RATP.

Télécharger l’appel de la CGT Paris 18e.


Non à l’ouverture à la concurrence !

La mobilisation en images !


Non à l’ouverture à la concurrence en Île-de-France

Communiqué des secteurs fédéraux CGT Cheminots et de la CGT RATP

La présidente d’Île-de-France Mobilités, Valérie Pécresse (Les Républicains) souhaite entériner, lors du conseil d’administration du 9 décembre 2020, l’ouverture à la concurrence des lignes Tram-train, des lignes transilien et RER de la région.

La CGT a interpellé la présidente de la région par courrier pour lui demander une audience.

La CGT revendique :

  • l’arrêt de l’ouverture à la concurrence des transports publics ;
  • le développement des entreprises publiques de transports au service de la population.

La CGT appelle également à un rassemblement :

mercredi 9 décembre 2020 à partir de 8 h 30
au siège d’Île-de-France Mobilités
39-41, rue Châteaudun – Paris 9e


Voici le communiqué :

Le 9 décembre, une réunion du conseil d’administration présidée par Valérie Pécresse doit se tenir avec notamment à l’ordre du jour la validation de la Convention SNCF – IDF Mobilités 2020-2023 et le vote d’une délibération concernant le calendrier d’ouverture à la concurrence des lignes SNCF (Tram-trains, lignes transilien et RER). 

De leur côté, les agents de la RATP sont confrontés en ce moment même au projet d’ouverture à la concurrence sur le domaine des bus d’ici 2025 et ultérieurement sur le ferré. 

La CGT a demandé à être reçu une nouvelle fois par Valérie Pécresse. 

Cette ouverture à la concurrence est co-organisée par IDF Mobilités et les directions de la RATP et de la SNCF. D’ailleurs, dans leurs communications, ces dernières ne précisent pas qu’elles pourraient répondre aux appels d’offres via des filiales de droits privé. Leur objectif étant d’abaisser les conditions sociales des salariés notamment lors d’un possible transfert (salaires, conditions de travail…). 

Comme les entreprises de transports privées, il s’agit de prendre de l’argent public, pour dégager des profits. Cette complicité va à l’encontre de la réponse aux besoins de transports des populations, notamment en ÎIe-de-France. La période de crise sanitaire que nous vivons démontre un peu plus que seules des entreprises publiques sont en capacité d’assurer ces missions essentielles.

 La CONCURRENCE n’est pas la SOLUTION, 
C’est le PROBLÈME ! 

DÉVELOPPONS les ENTREPRISES PUBLIQUES de TRANSPORTS
au SERVICE de la POPULATION. 

Télécharger le communiqué.